Si LeBron James a porté le numéro 23 durant la plus grande partie de sa carrière, le #6 n'est jamais bien loin.
Mais au fait, pourquoi a-t-il choisi de porter ces deux numéros en NBA ?
Sur un parquet, Doncic sait tout faire. Il resplendit ! En plus de son talent, un détail n'aura pas échappé aux plus observateurs : son numéro 77 ! Pourquoi ce choix ? On vous dit tout !
Bam Adebayo est l'étoile montante de la NBA cette saison. Alors que son nom est sur toutes les lèvres, saviez-vous que "Bam" n'est en réalité qu'un surnom ? Retour sur la petite histoire qui se cache derrière ce drôle de sobriquet.
On entend souvent que ce n'est pas la taille qui compte... Enfin en NBA, un peu. Quelques centimètres en plus ne peuvent pas faire de mal pour faire la différence dans les raquettes. Tour d'horizon des plus grands joueurs (par la taille) à avoir jouer en NBA.
Carmelo Anthony a fait son grand retour en NBA. Après sa pige ratée aux Houston Rockets et une absence de plus d’un an, Melo portera désormais les couleurs des Portland Trail Blazers. Un détail quelque peu surprenant ne manquera pas d’attirer l’œil des spectateurs les plus avertis : Carmelo Anthony a changé de numéro et arborera le 00.
DeMar DeRozan arbore le numéro 10 depuis son arrivée en NBA. L’arrière californien porte ce numéro depuis son arrivée en NCAA en 2008, lors de son unique saison au sein des Trojans de USC.
Giannis Antetokounmpo est un joueur populaire. Son maillot, floqué du numéro 34, se classe 3ème au classement des meilleures ventes 2019, derrière LeBron James et Steph Curry. Mais pourquoi a-t-il choisi le #34 à son arrivée à Milwaukee ?
Alors qu’on se souvient tous de la relation conflictuelle entre Kobe et le Shaq, voici une anecdote méconnue qui démontre l’amour fraternel qui existait entre les deux fortes têtes des Lakers.
Lorsque l’on regarde un match des Portland Trail Blazers, il est difficile de passer à côté de l’expression « Rip City ». Ces deux mots sont omniprésents à Portland. Mais quelle est l'origine de cette expression ?
Amateur de NBA depuis 1996 et fan des Spurs depuis l’année sophomore de Tim Duncan. Adepte du air ball sur lay-up et des yeux rouges en période de playoffs. Mon pire cauchemar : un shoot de Ray Allen dans le corner droit à 5.2 secondes de la fin d’un Game 6 d’une finale NBA. Quoi, c’est vraiment arrivé ? Mais naaaan !?!